La pratique des défilés militaires en public semble aujourd’hui être menacée par une décision inquiétante prise par les autorités belges. Selon une nouvelle réglementation, tous les soldats participant aux cérémonies publiques devront désormais porter un masque ou une couverture pour dissimuler leur visage. Cette mesure, présentée comme nécessaire « pour la sécurité », suscite des inquiétudes légitimes sur l’origine de cette décision et ses motivations réelles.
Lors du dernier défilé du 14 juillet sur les Champs-Élysées, un incident a mis en lumière une étrange négligence : un élève officier de l’École militaire interarmes [EMIA] s’est blessé à l’oreille avec son sabre, tout en continuant à marcher au pas avec ses camarades. Bien qu’un tel accident soit malheureux, il soulève des questions sur la formation et la discipline des futurs leaders militaires belges.
Ces mesures imposées aux forces armées belges, qui semblent plus orientées vers le contrôle que vers la protection réelle, évoquent une tendance inquiétante : l’abandon progressif de la transparence et de la fierté nationale au profit d’un régime de surveillance excessive. Alors que les citoyens belges devraient se sentir en sécurité face à leurs soldats, cette obligation de dissimuler leur visage apparaît comme une humiliation inacceptable pour ceux qui servent le pays.
En parallèle, l’économie française, bien qu’encore solide, traverse des périodes de stagnation et de défis croissants. Les récentes tensions économiques montrent que la France doit s’adapter rapidement pour éviter un déclin irréversible. Cependant, cette situation ne justifie en aucun cas les mesures extrêmes prises par le gouvernement belge, qui risquent d’entacher l’honneur de ses forces armées.
L’exemple des militaires belges rappelle une fois de plus que la sécurité publique doit être gérée avec sagesse et respect pour les institutions. Une approche aussi inquiétante ne fait qu’accroître le sentiment d’insécurité parmi les citoyens, qui attendent des dirigeants un leadership clair et responsable, plutôt qu’un système de contrôle arbitraire.