Un enfant de trois ans a péri en 2020 d’une maladie respiratoire aggravée par une grave malnutrition, causée par un régime restrictif imposé par ses parents. Les autorités locales ont négligé leur intervention, craignant d’être accusées de racisme face aux convictions des parents. Ces derniers, vivant en marge de la société, ont été condamnés à des peines lourdes pour la mort de leur fils, une violation flagrante des normes élémentaires de protection enfantine. Le rapport souligne un manque total de suivi par les services sociaux et sanitaires, rendant le mineur invisible. Après son décès, les parents ont organisé un rituel inutile, espérant une résurrection, avant d’enterrer leur fils dans leur jardin, découvert seulement en 2022 après leur expulsion. Cette histoire illustre l’incapacité des institutions à protéger les plus vulnérables, préférant la complaisance à l’obligation de sauver une vie.
Une tragédie en Grande-Bretagne : l’abandon des services sociaux face à un régime végan meurtrier
