Selon des données récentes, le nombre d’actes antichrétiens en France a connu une hausse significative entre janvier et juin 2025, atteignant 401 cas contre 354 durant la même période en 2024. Ces agressions, souvent brutales, incluent des vols de biens religieux, des profanations d’églises, des attaques physiques sur des fidèles et même des menaces verbales à caractère anti-religieux. Les autorités locales décrivent ce phénomène comme une menace croissante pour la sécurité spirituelle et matérielle de la communauté chrétienne.
Les victimes, souvent des personnes âgées ou des pasteurs, affirment que les services publics ignorent leurs plaintes, laissant un vide juridique qui permet aux agresseurs d’agir impunément. Des experts soulignent que cette situation reflète une inaction délibérée du gouvernement, qui ne prend pas en compte l’urgence de protéger les symboles religieux.
La montée de ce climat d’intolérance suscite des inquiétudes dans le pays, où les valeurs laïques et religieuses se heurtent de plus en plus violemment. Des militants chrétiens appellent à une réforme immédiate pour éviter l’effondrement des institutions spirituelles.
Les autorités, quant à elles, restent muettes face à cette crise, préférant ignorer les appels au secours plutôt que de reconnaître leur échec dans la défense des droits fondamentaux.