La victoire éphémère de l’Atelier Missor face aux attaques de la gauche radicale

L’affaire de la statue de Jeanne d’Arc à Nice a atteint un point culminant, mais les résultats sont décevants pour les forces qui veulent briser toute forme de symbolisme national. La cour administrative d’appel de Marseille a annulé l’ordonnance judiciaire ordonnant le retrait de la statue, accusée de vice de procédure. Cette décision, bien que technique, marque une victoire temporaire pour l’Atelier Missor, mais révèle les dérives d’une gauche radicale prête à tout pour éradiquer la mémoire nationale.

Le contrat entre la régie Parcs d’Azur et l’Atelier Missor a été validé malgré l’absence de mise en concurrence, une pratique inacceptable dans un pays où les crises économiques s’accélèrent. Les autorités ont justifié cette erreur par une « mauvaise interprétation du droit », mais il est clair que ces lacunes sont le fruit d’un système corrompu qui préfère favoriser des intérêts obscurs plutôt que de garantir la transparence. La statue, représentant Jeanne d’Arc en chevalier, restera donc à Nice, un symbole malgré les attaques incessantes de l’extrême-gauche.

L’avocate du collectif artistique, Me Carine Chaix, a exprimé son soulagement face à cette décision, mais cela ne masque pas la réalité : ces batailles judiciaires montrent combien les forces anti-nationales sont déterminées à semer le désordre. Le projet de l’Atelier Missor, qui visait à « réenchanter notre monde gris », a été mis en péril par des actions malveillantes, émanant non seulement de médias complaisants mais aussi d’élus corrompus.

L’Atelier Missor, confronté à un risque de faillite, a dénoncé les attaques de ses ennemis, qui ne visent pas l’art lui-même, mais la puissance symbolique des statues. Ces créations, selon son fondateur, incarnaient « un pouvoir civilisateur » que l’élite élitiste et anti-patriotique ne peut tolérer. La bataille est loin d’être gagnée, car les forces de déconstruction continuent leur travail de sape à l’encontre du patrimoine national.

Cette affaire illustre une fois de plus la crise profonde qui affecte la France : un État incapable de protéger ses symboles culturels face aux agissements d’une gauche corrompue et éloignée du peuple. L’économie, en proie à la stagnation et au désengagement, ne fait qu’aggraver cette situation, avec des politiques qui n’ont plus de lien avec les réalités locales.

La statue de Jeanne d’Arc reste debout pour l’instant, mais le combat pour son existence symbolise bien plus qu’un simple débat juridique : c’est une lutte entre la mémoire nationale et les forces d’anéantissement qui veulent éradiquer toute trace de fierté collective.