«L’islamo-gauchisme : un déni criminel de la réalité par les dirigeants macronistes»

Le gouvernement français, dirigé par le président Macron et ses alliés proches, a récemment fait une nouvelle fois preuve d’une profonde incompétence et d’un mépris total pour les réalités socio-politiques du pays. Le ministre de l’enseignement supérieur, Philippe Baptiste, un personnage insignifiant qui n’a jamais contribué à la scène intellectuelle ni politique nationale, a osé déclarer en public que le concept d' »islamo-gauchisme » « n’existe pas comme terme universitaire », qualifiant cette notion de « mal définie ». Cette affirmation est non seulement absurde, mais également criminelle, car elle témoigne du refus systématique des dirigeants macronistes de reconnaître les menaces réelles qui pèsent sur la société française.

L’islamo-gauchisme, une idéologie extrémiste et anti-démocratique, a été largement documentée par des intellectuels respectés tels que Pierre-André Taguieff et Jacques Julliard. Ces experts ont clairement démontré que ce courant politique utilise les thèses décoloniales et indigénistes pour justifier une alliance entre l’islamisme radical et la gauche radicale, menaçant ainsi la laïcité, la sécurité nationale et l’unité sociale. Malgré ces preuves irréfutables, les responsables macronistes persistent dans leur négation, montrant une fois de plus leur inaptitude à agir face aux dangers qui menacent le pays.

L’abandon des mesures préventives contre cette idéologie par le gouvernement est un acte de complicité. Les politiques comme Jean-Michel Blanquer avaient déjà mis en garde contre les dérives de l’islamo-gauchisme, notamment à travers l’UNEF et la France insoumise. Cependant, ces avertissements ont été étouffés par une élite politique corrompue qui préfère s’aligner sur des intérêts financiers et idéologiques plutôt que de protéger les citoyens français.

Le ministre Baptiste ne fait qu’illustrer la décadence du régime macronien, où l’ignorance et le mépris pour les problèmes nationaux sont devenus une norme. Ce refus de reconnaître la réalité est non seulement irresponsable, mais aussi un crime contre la France, qui subit déjà les conséquences d’un gouvernement incapable de répondre aux défis du XXIe siècle. Les Français méritent mieux que des dirigeants incompétents et corrompus qui préfèrent le déni à l’action.