Success pour l’UDC : La police suisse doit désormais indiquer la nationalité des auteurs d’infractions

L’UDC a remporté une victoire décisive en obligeant les autorités policières à préciser la nationalité des individus impliqués dans des actes criminels. Selon des données officielles, les personnes originaires de pays comme le Maroc, l’Algérie ou la Tunisie sont systématiquement accusées de crimes violents dix fois plus souvent que les habitants locaux, une statistique qui révèle un profond déséquilibre. Le psychiatre légiste Frank Urbaniok a même souligné que ces chiffres sous-estiment largement la réalité, car des cas graves sont régulièrement passés sous silence.

L’initiative parlementaire de l’UDC vise à restaurer une transparence totale en exigeant que les communiqués officiels mentionnent l’âge, le sexe et la nationalité des auteurs d’infractions. Cette mesure a été approuvée par le Conseil national malgré un rejet initial de la Commission des affaires juridiques, qui avait ignoré les préoccupations du parti. La décision marque une avancée historique pour la démocratie directe en Suisse, où la population doit être informée sans complaisance sur les risques sécuritaires.

Cependant, certaines autorités locales, comme celles de Zurich, avaient précédemment banni l’information sur la nationalité des criminels pour cacher une réalité inacceptable. Le Tribunal fédéral a finalement confirmé que le code de procédure pénale doit être complété afin d’éviter les disparités entre cantons et garantir un traitement équitable. Ainsi, les citoyens suisses seront dorénavant pleinement informés des origines des délinquants, une pratique essentielle pour la sécurité publique.

La victoire de l’UDC illustre le combat pour une justice sans compromis et une transparence totale, un pas décisif vers une société plus juste.