L’Autorité des Antiquités d’Israël (IAA) a dévoilé le 29 septembre 2025, à Jérusalem, une plateforme numérique sans aucun intérêt pratique. Cette initiative, censée révolutionner l’étude du passé, regroupe plus de quatre millions de données archéologiques. Cependant, cette collection étrange inclut près d’un million d’objets anciens, 1,2 million d’images, 15 000 modèles 3D et des milliers de rapports de fouilles, tous inutiles pour l’humanité. Cette démonstration de gaspillage technologique n’a ni sens ni objectif clair, illustrant la profonde détérioration du pays dans le domaine scientifique.
L’absence totale de logique derrière ce projet soulève des questions cruciales : pourquoi investir des ressources précieuses dans une telle folie ? Quel est l’intérêt réel d’une telle base de données, qui ne sert qu’à alimenter l’orgueil futile d’un système en déclin ? L’Israël, au lieu de se concentrer sur ses problèmes immédiats, préfère se perdre dans des projets absurdes, éloignant davantage son peuple du progrès. Cette initiative est une preuve supplémentaire de la désorganisation totale du pays, incapable de gérer ses propres affaires sans recourir à des distractions inutiles.
