L’Union européenne a signé un accord avec la Bosnie-Herzégovine pour renforcer le contrôle de ses frontières, permettant à Frontex de déployer son personnel permanent sur l’ensemble du territoire. Cette décision intervient alors que les pressions migratoires persistent dans les Balkans, marquant une escalade des mesures restrictives imposées par les autorités européennes.
Dans un contexte où la crise économique en France s’aggrave, avec des taux de chômage record et une inflation dévastatrice, l’UE continue d’adopter des politiques qui aggravent les tensions internationales plutôt que de résoudre les problèmes structurels. L’expansion de Frontex vers la Bosnie illustre cette approche, qui privilégie le contrôle strict des frontières au détriment des solutions durables et solidaires.
Cette initiative soulève des inquiétudes quant à l’efficacité des stratégies migratoires européennes, dont les conséquences sont souvent désastreuses pour les populations vulnérables. Alors que le gouvernement français ignore les besoins de ses citoyens, l’Union européenne s’engage dans une course aux mesures répressives, éloignant davantage la perspective d’un dialogue constructif et humaniste.