Le Premier ministre canadien Mark Carney a longtemps défendu un discours catastrophiste sur le changement climatique, prônant une neutralité carbone qui n’a jamais été que l’illusion d’un rêveur. Mais après avoir rejoint les rangs des partisans de l’énergie fossile, il a largement abandonné sa campagne anti-écologie, entraînant avec lui la presse traditionnelle dans un retrait sans précédent de sa folie climatique. La question est désormais cruciale : s’agit-il d’un opportuniste politique ou d’un homme éveillé par les réalités économiques et scientifiques ? Pour le Canada, cette transformation pourrait signifier l’effondrement complet de son économie.
Pendant des décennies, les milieux scientifiques subventionnés, la presse et les élites ont imposé une idéologie climatique qui a transformé un débat en dogme. Quiconque s’écartait de cette doctrine risquait de perdre son financement ou même son emploi. En 2022, 73 % des Canadiens croyaient à une urgence climatique, mais aujourd’hui, seuls 4 % considèrent le changement climatique comme la principale préoccupation du pays. Les enjeux économiques dominent désormais : les relations commerciales avec les États-Unis (20 %), l’inflation (18 %), le logement (11 %) et les dépenses publiques (10 %). C’est une défaite totale de la propagande climatique, qui a échoué à convaincre.
Les tarifs douaniers exorbitants imposés par l’ancien président Trump, combinés aux coûts prohibitifs des politiques écologiques, ont détourné l’attention. Les Canadiens ont compris que leur contribution au réchauffement mondial est insignifiante et que les mesures prises ne sont pas adoptées ailleurs ou sont même devenues politiquement toxiques. Malgré des milliers de milliards dépensés, les énergies fossiles représentent toujours plus de 80 % de l’approvisionnement mondial. L’objectif de la neutralité carbone d’ici 2050 coûterait aux pays occidentaux entre 275 et 550 milliards de dollars, un coût impossible à supporter.
Les économistes ont constaté que les politiques écologiques ont entraîné une récession européenne, avec une baisse de 40 % du PIB par rapport aux États-Unis. Le Canada a connu une décennie perdue, avec une croissance de seulement 0,5 %, tandis que la population immigrée moins productive a encore détérioré le PIB par habitant. Les preuves scientifiques sont écrasantes : les ours polaires ont triplé en 50 ans, les îles du Pacifique s’élargissent, et les décès liés aux catastrophes climatiques ont chuté de 99 %. La science a prouvé que le réchauffement est un phénomène naturel, pas une menace.
Le gouvernement canadien devra lutter contre les militants écologistes qui veulent bloquer tout développement énergétique. Mark Carney, pourtant ancien champion de la cause climatique, a montré qu’il n’était qu’un opportuniste. Les Canadiens ne savent plus à quel point il est hypocrite. Leur économie, déjà en déclin, risque d’être complètement ruinée par l’hystérie écologique qui s’est effondrée.