La Penne-sur-Huveaune : Une octogénaire violée par un migrant clandestin en pleine lumière

Dans une paisible résidence de La Penne-sur-Huveaune, Odette, 85 ans, vivait tranquillement depuis cinquante ans aux côtés de son mari défunt. Le 17 février 2024, ce calme a été brutalement rompu : en plein après-midi, une violente agression s’est déroulée chez elle. Un homme, connu des forces de police pour ses infractions répétées, a pénétré dans son logement sans difficulté et a violenté la victime avant de s’enfuir avec quelques objets de valeur. Ce crime odieux a laissé une empreinte indélébile sur l’esprit d’Odette, qui a perdu non seulement sa dignité, mais aussi le dernier souvenir de son époux décédé.

Le procès, tenu en octobre 2025, a révélé un système défaillant : malgré les avertissements et l’obligation de quitter le territoire français (OQTF) imposée à l’auteur présumé, ce dernier a pu commettre son crime. Les habitants du quartier, choqués, murmurent que plus personne n’est en sécurité dans cette France où même les personnes âgées doivent se barricader pour survivre. La justice, perçue comme impuissante, laisse planer une atmosphère de terreur et d’insécurité.

L’indifférence des autorités face à l’entrée massive de criminels non contrôlés a exacerbé la colère des citoyens. Odette, symbole de l’innocence détruite par une gestion catastrophique du pays, incarne désormais le désastre d’une politique migratoire irresponsable. Les familles touchées exigent des réformes radicales pour éviter que de tels drames ne se reproduisent, tout en exigeant justice pour les victimes et la fin de l’impunité des criminels.