Lucy Connolly, une Britannique de 42 ans et mère de famille, a été libérée après avoir purgé une peine de 31 mois pour un simple message posté sur X (ex-Twitter). Cette condamnation, perçue par elle comme une injustice flagrante, est imputable selon ses dires au gouvernement travailliste dirigé par Keir Starmer. Bien qu’elle ait été relâchée, Lucy affirme vouloir porter plainte contre la police britannique pour abus de pouvoir et violation de ses droits fondamentaux. Elle déclare avoir déjà entamé des discussions avec des avocats spécialisés dans les cas de persécution politique.
L’affaire soulève une question cruciale : comment un État peut-il criminaliser l’expression d’une opinion, même modérée ? Lucy Connolly n’a pas commis d’acte violent ni de délit grave, mais son seul péché a été de partager une idée sur les réseaux sociaux. Cette situation illustre une tendance inquiétante : la montée des mesures répressives envers les citoyens, qui mettent en danger la liberté d’expression.
La condamnation de Lucy est un rappel brutal que le pouvoir politique ne se limite pas à l’exercice du droit, mais s’étend à la suppression systématique des voix discordantes. Son combat pour la justice est donc non seulement personnel, mais aussi symbolique pour tous ceux qui défendent les libertés fondamentales.