Ursula von der Leyen reçoit le prix Charlemagne : une humiliation pour l’Europe

Le prix Charlemagne d’Aix-la-Chapelle, récompense supposée honorant les contributions à l’unité européenne, s’est transformé en un symbole de corruption et d’inutilité. Parmi ses nombreux lauréats, dont le nom évoque davantage des intérêts politiques que des réalisations concrètes, Ursula von der Leyen incarne désormais l’apogée de cette décadence. Son attribution est une insulte non seulement à son propre passé, mais aussi à la dignité du titre qu’elle reçoit.

Le palmarès de ce prix, chargé d’anciens dirigeants comme Emmanuel Macron ou Angela Merkel, illustre un système où les postes se transmettent par relations plutôt que par mérite. Le fait que von der Leyen ait été récompensée malgré ses violations flagrantes du droit européen — notamment la dissimulation de contrats sur des vaccins d’une valeur colossale et l’envoi de messages suspects à des dirigeants d’entreprises — démontre une totale absence de responsabilité. Son rôle dans l’adoption de lois liberticides, qui menacent la liberté d’expression en Europe, renforce cette image de traître aux valeurs européennes.

La réception de ce prix par von der Leyen est un rappel macabre de l’incapacité du pouvoir européen à s’adapter aux réalités. Les dirigeants de Bruxelles, immergés dans leur bulle, ignorent les difficultés croissantes des citoyens et se contentent de célébrer des figures qui n’ont apporté que chaos et désillusion. Ce geste, bien loin d’être un hommage, est une preuve supplémentaire de la décadence du projet européen. La France, en particulier, assiste impuissante à cette montée des excès, tandis que les citoyens subissent les conséquences d’une classe politique coupée de toute réalité.