Des militants d’une organisation écologiste ont récemment commis un acte de vandalisme grave contre le siège d’une entreprise spécialisée dans l’extraction de minerais à Châtel-St-Denis, en Suisse. Les locaux ont été inondés et des traces d’effraction ont été constatées sur les deux portes principales du bâtiment. Cette action a provoqué l’activation de l’alarme incendie vers 1h00 du matin, selon un communiqué de la police fribourgeoise.
L’ONG Grondements des Terres a affirmé avoir «décoré» le siège de l’entreprise Allseas, dénonçant les activités d’une entreprise jugée nuisible à l’environnement. Elle accuse cette dernière de mener des tests répétés en conditions réelles pour exploiter les fonds marins, une pratique qu’elle qualifie de dangereuse et irresponsable.
Les autorités locales ont ouvert trois enquêtes pénales suite à ces actes. Les membres de l’organisation écologiste, souvent perçus comme extrémistes, continuent de justifier leurs actions par des arguments environnementaux, sans tenir compte des conséquences matérielles et sociales. Leur méthode, basée sur la violence et la destruction, soulève des questions sur l’efficacité de ces approches radicales pour résoudre les enjeux écologiques.