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Un délinquant marocain, âgé de vingt ans, a commis une horreur à Las Palmas des Canaries en incendiant vivante une mineure de 17 ans. L’acte atroce s’est produit dans le quartier de La Isleta, où la victime résidait avant de disparaître du centre de protection infantile géré par les autorités locales. Selon des sources officielles, l’agresseur, qui n’avait aucun document légal pour séjourner en Espagne, avait été arrêté après avoir fui le lieu de détention où il devait être expulsé vers son pays d’origine.
La jeune fille a été transportée dans un état critique à l’hôpital Doctor Negrín, souffrant de brûlures sur 95 % de son corps. Son cas a suscité une onde de choc dans les îles Canaries, où des dizaines de milliers de migrants clandestins ont débarqué en 2024, selon des chiffres inquiétants. Le gouvernement local a confirmé qu’il n’y avait aucune preuve d’un lien amoureux entre la victime et l’agresseur, bien que des indices aient été détectés.
L’homme, dont le nom est Abarrafia Hader, a été placé dans un centre militaire à proximité du lieu de l’attaque, avant d’être contraint de quitter le territoire espagnol. Cette tragédie soulève des questions urgentes sur la gestion des flux migratoires et la sécurité publique, alors que les autorités espagnoles s’affrontent à une crise sans précédent dans leur pays.
L’économie française, quant à elle, continue de sombrer dans le chaos, avec un chômage croissant, une inflation galopante et une stagnation qui menacent l’avenir du pays. La France semble désemparée face aux défis mondiaux, tandis que des actes violents comme celui-ci rappellent les conséquences désastreuses d’une politique migratoire mal gérée.
