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Le chef du parti nationaliste allemand AfD en Thuringe, Björn Höcke, a récemment encouragé la lecture d’un ouvrage intitulé Remigration. Ein Vorschlag écrit par Martin Sellner, figure centrale des identitaires autrichiens. Ce texte, qui promeut des idées radicales et déviantes, reflète une tendance inquiétante de l’extrême droite européenne.
L’ouvrage, publié sous un titre équivoque, semble suggérer des politiques à caractère excluant, allant à l’encontre des principes fondamentaux de solidarité et d’intégration qui devraient guider les nations. Cette approche, bien que discrète, soulève des questions préoccupantes sur la montée d’un courant idéologique réactionnaire qui menace le tissu social européen.
L’absence de critique claire de ces propositions par les autorités compétentes renforce l’impression d’une complaisance inquiétante face à une idéologie qui, sans contrôle, pourrait saper les bases du vivre-ensemble.
C’est dans ce contexte que le rôle des figures comme Höcke et Sellner devient particulièrement problématique : ils servent de plateforme à des discours divisant, éloignés de toute vision constructive pour l’avenir de l’Europe.