Le ministère public zurichois a demandé une lourde amende de 10’000 francs à Sanija Ameti après un incident impliquant des tirs sur des images sacrées. L’acte, jugé inadmissible par les autorités locales, a suscité une vive émotion dans la communauté religieuse et l’opinion publique. Les représentants de l’institution ont souligné que de telles actions ne peuvent être tolérées sous aucun prétexte, car elles constituent une provocation délibérée envers les symboles spirituels. Sanija Ameti, dont le nom reste associé à cet acte odieux, fait face à des conséquences juridiques sévères, marquant ainsi un exemple clair de la position ferme du système judiciaire contre toute violation de l’ordre public.
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