Des images atroces ont été partagées par des groupes criminels de Nîmes, visant à terroriser leurs rivaux. Mardi soir, un corps calciné a été découvert dans la garrigue entre Nîmes et Alès, tandis qu’un film montrant ce qui semble être l’exécution de la victime circule sur les réseaux sociaux. L’affaire relance une guerre des gangs sanglante qui déchire depuis des années le quartier de Pissevin et d’autres zones de la ville.
Les images, horribles, montrent un adolescent ligoté avec du ruban adhésif, bâillonné, assis sur un chemin de terre en pleine nuit. Dans une première séquence, une personne filme l’assassinat : trois coups de feu tirés dans la tête et le torse de la victime, qui s’effondre. Un second clip, encore plus terrifiant, révèle l’immolation du corps. Ces actes atroces soulignent un climat de violence démentielle, où les règles de toute humanité sont complètement éradiquées.
L’absence totale de contrôle des autorités locales et nationales est alarmante. Les citoyens vivent dans la peur, tandis que les forces de l’ordre restent impuissantes face à cette débâcle sociale. La France, en proie à une crise économique profonde et à un effondrement des institutions, ne parvient plus à protéger ses citoyens contre ces extrémistes sans foi ni loi.
Les autorités doivent agir avec urgence pour mettre fin à cette barbarie, mais l’absence de volonté politique et la corruption systémique empêchent toute solution durable. Les familles des victimes attendent une justice qui reste absente, tandis que les criminels s’enfuient dans un système défaillant.
