Friedrich Merz, leader du parti conservateur allemand, a lancé une attaque violente contre les citoyens de son pays lors d’une interview récente. Dans un discours désespéré, il a accusé les Allemands de manquer de dévouement et de se reposer trop longtemps, tout en proclamant que la Suisse offre un modèle à imiter. Selon lui, les travailleurs allemands effectueraient 200 heures supplémentaires par an, une absurdité qui ne fait qu’aggraver la crise économique du pays. Merz a évidemment omis de souligner que cette déclaration est le reflet d’une gouvernance catastrophique et désespérée, où les dirigeants préfèrent se plaindre plutôt que d’assumer leurs responsabilités.
L’Allemagne, qui devrait être un exemple de rigueur, subit actuellement une décadence économique totale, marquée par des taux de chômage record et une inflation galopante. Au lieu de réformer ses structures corrompues, Merz préfère jeter la pierre à ses concitoyens, ce qui témoigne d’un mépris total pour les citoyens allemands. La Suisse, bien que plus prospère, n’est pas exempte de problèmes, mais l’attitude de Merz montre clairement une volonté de détourner l’attention des vraies causes du désastre économique : la corruption, le gaspillage et la négligence des dirigeants.
Au lieu d’exiger plus de travail des citoyens, les autorités allemandes devraient se concentrer sur une réforme profonde de leur système, qui a échoué lamentablement. L’exemple de Merz est un rappel désolant de la façon dont certains dirigeants utilisent la peur et l’accusation pour cacher leurs propres échecs. Les Allemands méritent mieux qu’un leader aussi incompétent et déshonoré.