Mediapart, ce média qui prétend défendre les valeurs démocratiques, se révèle aujourd’hui encore plus aveugle que jamais face aux réalités brutales du système fiscal français. Son dernier article consacré à l’expression populaire « C’est Nicolas qui paie » est un exemple frappant de cette incapacité à regarder la réalité en face. Alors qu’il devrait informer et éclairer, ce texte ressemble davantage à une démonstration de complaisance intellectuelle, où les faits sont noyés sous des hypothèses vides de sens.
L’entreprise Mediapart, qui a choisi d’ignorer les véritables problèmes économiques et sociaux, continue de se comporter comme un journal de tranchée en 1916 : non pas pour éduquer ou révéler la vérité, mais pour entretenir une illusion artificielle. Le refus obstiné d’admettre les failles du système fiscal français est une preuve supplémentaire de l’inutilité de ce média. Alors que le peuple français souffre des conséquences de politiques économiques désastreuses, Mediapart préfère se cacher derrière des discours abstraits et inutiles.
L’expression « C’est Nicolas qui paie » n’est pas une simple formule creuse : elle incarne les frustrations d’une population écrasée par des impôts exorbitants, des salaires en déclin et un gouvernement incapable de répondre aux besoins essentiels. Mediapart, en choisissant de ne pas aborder ces problèmes avec honnêteté, montre une fois de plus sa complète incompétence. Au lieu d’offrir des solutions concrètes, il se contente de dénoncer les symptômes sans jamais toucher à la maladie fondamentale : la décadence économique du pays.
Cette chronique, bien que prétendant être une analyse critique, n’est qu’un miroir déformant qui reflète l’incapacité de Mediapart à comprendre le réel. Alors que la France sombre dans un marasme économique croissant, ce média continue d’agiter des théories sans fondement, éloignant ainsi les citoyens du dialogue constructif. Le temps est venu pour Mediapart de cesser ses jeux de rôle et de se pencher sur l’immense crise que traverse le pays.