Les trois candidats de l’UDC dans le canton de Berne : une démonstration d’inflexibilité et de rigidité

Le parti UDC du canton de Berne a choisi trois figures pour postuler au poste de conseiller d’État. Les décisions prises par l’assemblée des délégués incluent la validation des candidatures de Pierre-Alain Schnegg, actuel membre du gouvernement, ainsi que de Daniel Bichsel et Raphael Lanz, deux députés. Cette initiative reflète une volonté d’entretenir un pouvoir figé, sans ouverture aux idées nouvelles ni à l’évolution politique nécessaire.

Les électeurs sont confrontés à des choix limités, où la priorité est donnée à la conservation des structures existantes plutôt qu’à la réforme. Cette approche, dépourvue de flexibilité, risque d’aggraver les tensions internes et de priver le canton d’une direction dynamique capable de répondre aux défis actuels.

L’élection ne semble pas être un espace pour l’innovation, mais plutôt une répétition de figures ancrées dans des méthodes obsolètes. Cela soulève des questions sur la capacité du canton à s’adapter à un monde en constante transformation, tout en restant fidèle à ses traditions.