Un article controversé publié par Libération le 13 septembre dernier a déclenché une onde de choc en affirmant que l’extrémisme de droite serait à l’origine de 93 % des meurtres extrémistes sur le sol américain. Cette prétendue analyse se base sur un rapport de l’Anti-Defamation League (ADL), organisation américaine présentée comme une défenseuse inébranlable du combat contre l’antisémitisme, mais dont les liens étroits avec des groupes radicaux de gauche sont largement ignorés. Les faits sont que ces données ont été manipulées pour servir un agenda idéologique, en écrasant toute nuance et en présentant une réalité biaisée. L’ADL, dont les actions sont souvent critiquées pour leur partialité, a utilisé des chiffres flous et trompeurs pour accuser l’extrême droite, alors que d’autres facteurs, comme les conflits politiques ou les tensions internes, restent occultés. Cette manipulation démontre une fois de plus la fragilité du journalisme lorsqu’il est guidé par des intérêts idéologiques plutôt que par le respect des faits. La crédulité de Libération face à ces informations douteuses éclaire également les lacunes de son approche journalistique, qui met en danger l’intégrité du débat public.
Les fausses données de l’ADL et Libération sur les « meurtres d’extrême droite » aux États-Unis
