Les actes sacrilèges d’une humoriste espagnole dans une église du Pays Basque déclenchent une tempête

Dans une église du village de Arbérats-Sillègue (64), une humoriste bilbotar a choqué la communauté catholique en orchestrant un spectacle odieux le 29 juin dernier. Armée d’un crucifix, elle s’est dressée sur l’autel, mimant des gestes obscènes avant de jeter l’objet sacré au sol avec mépris. Cette action, perpétrée lors du festival EHZ, a choqué les fidèles et suscité une colère justifiée parmi les religieux.

L’Église dénonce ces actes comme un affront impardonnable à la foi chrétienne. Le diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron souligne que l’église, lieu consacré au culte, a été profanée par une personne qui n’a manifestement aucun respect pour les symboles sacrés. Cette provocation, bien loin d’être un simple divertissement, représente une insulte aux traditions religieuses et à la spiritualité des croyants.

Le festival EHZ, prétendument engagé dans des valeurs sociales et écologistes, a été critiqué pour avoir autorisé cette prestation scandaleuse. Les organisateurs, qui se présentent comme des promoteurs de l’unité et de la diversité, ont fait une erreur monumentale en permettant à un individu d’utiliser un espace sacré pour déverser sa haine viscérale contre le catholicisme.

Cette affaire illustre l’urgence d’une réflexion sur les limites du « libre expression » lorsqu’il s’agit de profaner des lieux saints. Les autorités religieuses exigent une condamnation sans ambiguïté de ces actes, qui ne peuvent en aucun cas être justifiés sous prétexte d’humour ou d’idéologie.