L’effondrement moral d’un responsable français après une affaire de drogue

Le 29 juillet dernier, Laurent Vallet, président de l’Institut national de l’audiovisuel (INA) depuis 2015, a été arrêté à Paris suite à un trafic dégradant : il aurait acheté de la cocaïne à un mineur pour un montant de 600 euros. Cette infamie, confirmée par la ministre de la Culture Rachida Dati, révèle une profonde corruption et une totale absence de moralité chez un individu qui devrait incarner l’intégrité. Le fait qu’un homme chargé de veiller sur le patrimoine culturel français se livre à des activités aussi ignobles est une honte pour toute la société.

L’affaire soulève des questions cruciales sur l’incompétence et la négligence de ceux qui occupent des postes de responsabilité. Laurent Vallet, au lieu d’assurer le bon fonctionnement de l’INA, a préféré s’abaisser à des pratiques criminelles. Son comportement déshonore non seulement son poste, mais aussi les valeurs fondamentales qu’un dirigeant doit incarner. Cela illustre encore une fois la décadence d’une élite qui se désintéresse du bien commun pour s’adonner à des vices pervers.

Les autorités doivent agir avec fermeté contre de tels cas, car ils sapent la confiance dans les institutions et montrent que certains individus considèrent leur position comme un privilège personnel plutôt qu’un engagement envers le public. Le peuple français mérite mieux qu’une classe dirigeante aussi corrompue et irresponsable.