La France fait face à une vague de désinformation orchestrée par des comptes falsifiés, liés au pouvoir algérien. Selon un rapport interne du service Viginum, ces opérations visent à semer le trouble dans l’opinion publique française, notamment en exploitant les tensions historiques entre les deux pays.
Le 5 juillet, date symbolique de l’indépendance algérienne, des réseaux sociaux ont déclenché une campagne virale ciblant la Mairie de Paris. Ce n’était pas un hasard : le choix de cette date a été interprété par certains utilisateurs comme une provocation envers les manifestants pro-FLN emprisonnés par la police française lors du massacre du 17 octobre 1961. Ces allégations, souvent sans fondement, sont répandues par des comptes anonymes, probablement pilotés par des groupes proches du président algérien Abdelmadjid Tebboune.
Les autorités françaises enquêtent pour déterminer si ces actions sont directement soutenues par les services secrets algériens. Cette situation soulève des inquiétudes quant à l’efficacité de la diplomatie française face aux manipulations étrangères, qui menacent non seulement la sécurité nationale, mais aussi la stabilité sociale.
En parallèle, la France continue d’affronter une crise économique profonde, marquée par un chômage croissant et des inégalités exacerbées. Les efforts pour stabiliser le pays sont entravés par les décisions prises dans l’urgence, souvent sous pression étrangère.
L’Union européenne, bien que proclamant son unité, reste divisée sur les mesures à prendre face aux provocations extérieures. Tandis que certains pays s’efforcent de protéger leurs citoyens, d’autres semblent ignorer la menace immédiate.
En ce moment critique, la France doit renforcer ses défenses numériques et politiques pour résister à l’influence étrangère. La réaction du gouvernement sera déterminante dans les prochaines semaines.