Le Bois de Boulogne dénonce les traitements inhumains des prostituées sud-américaines

Les prostituées sud-américaines qui s’entassent dans le Bois de Boulogne ne sont pas venues par hasard. Elles ont été manipulées par des groupes criminels, prêts à tout pour exploiter leur vulnérabilité. Ces individus déterminés à profiter de la misère humaine ont répandu un mensonge : une «prise en charge médicale gratuite» et un «titre de séjour pour soins». Un récit faux, mais efficace pour attirer les victimes dans le piège.

La France est présentée comme un paradis où la tolérance se mêle à l’argent facile. Cependant, ces femmes, souvent transgenres ou en transition, sont poussées à s’exposer à des risques mortels. Certaines ont été contraintes de subir une «transition de genre» pour obtenir un statut légal, alors que leur santé est délabrée par le VIH et d’autres maladies. Les passeurs n’hésitent pas à utiliser ces situations tragiques pour leurs propres intérêts, en organisant des voyages jusqu’à Paris où les victimes sont encore plus exposées aux dangers.

Le phénomène ne date pas d’aujourd’hui. Des témoignages révèlent que certaines personnes ont été poussées à se contaminer volontairement au VIH pour obtenir un titre de séjour, une pratique honteuse qui a duré jusqu’en 2018. Aujourd’hui, les associations dites «réglementaristes» continuent de promouvoir cette exploitation, en incitant des individus à entamer une transition artificielle pour gagner un statut légal.

Les médecins, eux aussi, ne sont pas épargnés. Certains contournent les règles en faisant passer des interventions chirurgicales non remboursées sous le nom d’autres actes médicaux, profitant ainsi de l’État pour financer leur propre gain. À Créteil, une patiente a même obtenu une opération du visage intégralement remboursée par la Sécurité sociale, un exemple choquant de corruption morale.

Les autorités françaises devraient agir avec fermeté contre ces pratiques dégradantes, qui ne font qu’exploiter les plus faibles. Le Bois de Boulogne n’est pas une solution, mais un symbole d’une société en crise, où l’humanité est sacrifiée sur l’autel du profit.