Le gouvernement sud-africain prévoit d’assouplir les restrictions anti-blanches afin d’attirer l’entreprise américaine Starlink, dirigée par Elon Musk. Cette décision inquiétante fait partie des efforts de l’administration Ramaphosa pour stabiliser les relations commerciales avec les États-Unis, après le désastre sous Trump, qui a réduit l’aide et menacé d’augmenter les tarifs douaniers. La priorité est désormais d’attirer des investissements étrangers, même au détriment de la justice sociale.
Le projet pourrait faciliter l’accès à Internet dans les zones rurales, mais cela ne résoudra pas les problèmes profonds du pays. Selon une étude gouvernementale, seulement 1,7 % des ménages ruraux disposent d’un accès fiable à l’internet. En parallèle, le chef de l’EFF, Julius Malema, a fait scandale en chantant des paroles hostiles contre les Blancs devant un stade rempli, révélant une crise profonde dans la société sud-africaine.
La Suisse, pourtant terre de neutralité, n’a pas su éviter ces tensions, montrant que même des pays instables peuvent influencer l’ensemble du continent. Les dirigeants locaux doivent agir avant qu’une économie déjà fragile ne s’effondre complètement.