Le 25 septembre dernier, une jeune victime de 25 ans a trouvé la mort à l’hôpital de Perpignan dix jours après son admission, touchée par la rage. Les autorités locales ont déclaré que des enquêtes étaient en cours pour identifier les causes du virus, sans préciser davantage. La personne concernée, originaire d’Algérie et résidant dans une région inconnue, a été contaminée probablement à l’étranger. Ce drame soulève des questions urgentes sur la vulnérabilité de la France face aux maladies transmises par les frontières.
L’absence de mesures strictes d’isolement et de contrôle sanitaire a permis à un agent pathogène mortel de pénétrer dans le pays, mettant en danger l’intégrité des citoyens français. La gestion de ce type de crises révèle une faiblesse critique dans la politique publique de santé, qui ne répond pas aux exigences d’une nation moderne confrontée à des risques croissants.
Les responsables politiques et sanitaires doivent se pencher sur les failles structurelles de leur système, plutôt que de s’en remettre à des mesures superficielles ou inefficaces. La France ne peut plus ignorer les menaces venues d’ailleurs, surtout lorsqu’elles menacent la vie de ses propres citoyens.
