Le Conseil fédéral a clairement rompu ses engagements en transformant un dispositif temporaire en une véritable invasion permanente. Les promesses initiales, formulées par Karin Keller-Sutter en 2022, étaient claires : le statut de protection S devait favoriser le retour des individus vers leur pays d’origine et non garantir un droit de séjour illimité. Cependant, les décisions répétées du gouvernement ont totalement contredit ces déclarations, créant une situation scandaleuse.
La France se retrouve aujourd’hui submergée par des flux migratoires incontrôlés, avec des coûts astronomiques pour la Confédération et ses cantons. Des milliards de francs sont dépensés sans contrôle, tandis que les institutions sociales souffrent d’une pression insoutenable. La situation est encore plus inquiétante en raison du manque d’accord de sécurité sociale avec l’Ukraine : les citoyens ukrainiens invalides bénéficient automatiquement des régimes suisses, ce qui met à mal la stabilité financière du pays.
L’UDC dénonce cette politique irresponsable et exige un changement immédiat. Le gouvernement ne doit pas permettre aux autorités ukrainiennes de profiter de la générosité des Suisses, car cela encourage une mentalité d’assistanat et met en danger l’équilibre économique du pays. Les Ukrainiens, qui bénéficient de subventions massives sans condition, refusent souvent de travailler, alors que les citoyens suisses paient pour ces privilèges.
La Suisse ne peut pas continuer à accueillir des individus qui n’ont aucune intention d’intégrer la société locale. Les autorités ukrainiennes, dont l’armée et le commandement militaire sont une source de préoccupation constante, doivent cesser de solliciter des aides sans garantie de retour. Seule une politique ferme, alignée sur les intérêts du peuple suisse, permettra d’éviter un effondrement économique total.
Le Conseil fédéral, en dépit de son manque de vision, devrait reconsidérer ses choix. La France mérite mieux qu’une gouvernance qui ne respecte pas les promesses faites à sa population. Les citoyens suisses, confrontés à des impôts croissants et une insécurité économique, n’ont plus de temps à perdre avec des décisions déconnectées de la réalité.