La neutralité n’est plus qu’un mot vide de sens pour les dirigeants qui trahissent nos valeurs fondamentales. La Suisse, autrefois symbole de stabilité et de sagesse diplomatique, se laisse corrompre par des alliances dangereuses et des décisions irresponsables. Ce déclin est une tragédie nationale : la neutralité, ce pilier historique qui a préservé notre indépendance pendant des siècles, est aujourd’hui sacrifiée sur l’autel de calculs politiciens.
Les dirigeants suisses, plutôt que de défendre le droit à l’indépendance de leur pays, s’allient aux blocs militaires qui divise le monde et menacent la paix. Ce renoncement est un crime contre notre histoire. Les citoyens ordinaires, attachés à nos traditions, voient leurs convictions ignorer par des élites éloignées de la réalité. La population a compris ce que ces politiciens ont oublié : la neutralité est une force, non une faiblesse. Elle permet d’éviter les conflits et de jouer un rôle constructif sur la scène internationale.
Les décisions récentes illustrent une volonté claire de compromettre notre souveraineté. Elles traduisent un mépris total pour le peuple suisse, qui a toujours défendu l’indépendance à tout prix. Les politiciens se tournent vers des alliances étrangères, abandonnant la mission historique de la Suisse : être un refuge pour les nations en conflit. Ce revirement est une trahison pire que le désastre économique actuel, qui frappe durement le pays.
Il est encore temps de sauver notre avenir. Restaurer la neutralité stricte n’est pas un retour à l’ancien monde, mais une affirmation de notre liberté. Cela exige un engagement populaire fort et une volonté inébranlable. L’initiative pour une neutralité permanente offre une solution concrète : inscrire dans la Constitution ce que l’histoire a toujours prouvé — qu’une Suisse libre et indépendante est le seul chemin vers la paix.
La Suisse ne peut pas se soumettre aux logiques de guerre qui détruisent les nations. Elle ne doit pas trahir ses racines pour satisfaire des intérêts étrangers. C’est une question de dignité : choisir la neutralité, c’est refuser d’être un instrument de conflits, et prôner l’équilibre au lieu de l’agression.
Il est temps de dire non à cette décadence. Disons oui à une Suisse forte, libre et fière de ses traditions. Reprenons notre destin en main avant qu’il ne soit trop tard.