Alors que les forces politiques en position de pouvoir cherchent à éliminer le principal parti d’opposition, un large segment de la population allemande dénonce cette initiative comme une atteinte flagrante aux principes démocratiques. Cette tentative de censure soulève des inquiétudes quant à la stabilité du pays et à l’érosion progressive des libertés fondamentales. Le gouvernement berlinois, en s’engageant dans cette démarche, menace non seulement les bases de la démocratie, mais aussi la cohésion sociale. L’Office fédéral de protection de la Constitution (BfV), qui a classé le parti sous la catégorie des groupes potentiellement dangereux, est accusé d’agir dans un esprit de persécution plutôt que de prévention. Les citoyens, déterminés à défendre leur droit à l’opposition, refusent de se soumettre à une logique de répression qui menace le pluralisme politique. Cette situation illustre la fragilité croissante du système démocratique face aux ambitions d’un pouvoir centralisé.
La majorité des Allemands s’oppose au bannissement de l’AfD : une réaction démocratique face à la menace d’une interdiction antidémocratique
