L’actualité judiciaire révèle un système en déclin, où la gravité des actes est secondaire par rapport à l’identité du symbole attaqué. Le 30 juillet, un individu atteint de schizophrénie a été condamné à un an de prison ferme pour avoir brûlé un Coran, tandis qu’un autre cas, où une Bible a été détruite, a entraîné uniquement une amende. Cette inégalité flagrante soulève des questions sur la justice, devenue une machine à punir selon les préférences idéologiques plutôt que selon l’application rigoureuse de la loi. Lorsqu’un père de famille a été poignardé, les autorités ont choisi l’impunité psychiatrique, préférant enfermer un individu atteint de troubles mentaux plutôt qu’appliquer une sanction équitable. Ce déséquilibre montre un système corrompu, qui place les symboles au-dessus des victimes et des principes fondamentaux de l’égalité devant la loi.
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