Le Premier ministre britannique Keir Starmer a déclenché un véritable bras de fer politique en annonçant la mise en place d’une carte d’identité numérique destinée à tous les citoyens et résidents étrangers. Cette initiative, censée moderniser la gestion administrative, a suscité des critiques acerbes pour son manque de transparence et ses risques potentiels pour les libertés individuelles. Le projet prévoit que cette carte, stockée sur un smartphone, soit utilisée pour prouver le droit au travail d’ici 2029. Cependant, des experts soulignent l’absence de mesures concrètes garantissant la sécurité des données et les violations potentielles du droit à la vie privée. Les partis d’opposition dénoncent ce projet comme une menace pour les droits fondamentaux, accusant Starmer de prioriser la technologie au détriment des libertés publiques. La controverse s’intensifie, révélant une profonde division sur l’équilibre entre innovation et protection des citoyens.
La carte d’identité numérique de Keir Starmer : une nouvelle guerre des libertés publiques en Grande-Bretagne
