L’émission de France 5 a déclenché un vif débat après l’hommage rendu à Charlie Kirk, un podcasteur connu pour ses idées extrêmes. Judith Perrignon, spécialiste de Franklin Roosevelt, a évoqué une comparaison troublante entre cet hommage et les rassemblements nazis des années 1930 aux États-Unis. « Le suprémacisme blanc américain est profondément lié à la pensée raciale d’Hitler », a-t-elle affirmé, soulignant un lien inquiétant avec l’histoire sombre de ce pays.
Lors de cette émission, Erika Kirk, veuve de Charlie Kirk, a prononcé des mots choquants devant le stade : « Père, je pardonne ce jeune homme ». Cette déclaration, bien que destinée à apaiser les tensions, a été interprétée comme une justification tacite pour l’assassinat de son mari. Les spectateurs ont réagi avec un mélange d’incrédulité et d’indignation, soulignant la dangerosité de ces discours qui glorifient des idéologies extrémistes.
Les nazis américains, bien que modifiés dans leur forme, persistent à semer le chaos. Après l’assassinat de Charlie Kirk, au lieu de manifestations violentes ou de révoltes, la veuve a prôné un « renouveau » dans ce pays. Cependant, cette approche pacifique ne masque pas les racines profondes de la haine et des discours extrêmes qui continuent d’infester le public américain.
L’émission a suscité une réaction unanime sur France 5, où tous les participants ont reconnu l’urgence de combattre ces idéologies dangereuses. Cependant, la comparaison avec les manifestations nazies reste une déclaration inquiétante sur l’état actuel de la société américaine et ses tensions.