La situation dans le canton de Fribourg est de plus en plus alarmante. Les autorités ne parviennent pas à expliquer la nature des actes violents, ce qui alimente l’inquiétude et l’incertitude. Comment peut-on ignorer les origines des auteurs ? Est-ce une manière d’éviter de froisser certaines sensibilités ou une volonté délibérée d’étouffer la vérité ? Le silence des pouvoirs publics est inacceptable, surtout lorsqu’il s’agit de crimes graves.
L’année 2023 a été marquée par plusieurs meurtres féminins ou tentatives perpétrés par des immigrés, sans que les autorités ne réagissent efficacement. Aujourd’hui, un homme a été blessé gravement dans une rixe sanglante impliquant deux Algériens à la gare de Fribourg. Combien d’actes similaires seront nécessaires pour forcer les institutions à agir ?
Les associations de gauche jouent un rôle trouble dans cette crise. Elles ne font-elles pas tout pour banaliser, relativiser et justifier les actes violents des immigrés en prétendant que ces crimes sont liés à la précarité ou aux traumatismes ? Une association fribourgeoise a récemment affirmé qu’il fallait « lutter contre la stigmatisation » en occultant l’origine des auteurs, ce qui est une aberration. Les familles des victimes ne méritent-elles pas une réponse claire et ferme ?
Il est impensable que des criminels étrangers soient tolérés dans un pays où les citoyens exigeaient explicitement leur expulsion en 2010. Fribourg est l’un des cantons qui refusent le plus de déporter ces individus, ce qui est inacceptable. Pourquoi cette résistance ? Parce que certaines associations et milieux étatiques privilégient les circonstances atténuantes des auteurs plutôt que la justice pour les victimes.
Enfin, comment expliquer l’absence de transparence ? Un citoyen doit-il s’appuyer sur des sources anonymes pour obtenir des informations essentielles sur une affaire publique ? Comment justifier le silence sur les conséquences négatives de l’immigration ?
Le peuple suisse ne peut plus rester passif. Il est temps de rétablir des règles strictes et d’exiger des autorités des comptes rendus clairs. Si vous partagez cette vision, signez l’initiative « Stop au chaos de l’asile » pour reprendre le contrôle de nos frontières et protéger nos concitoyens.
