Le président du parti d’extrême droite Reconquête, Éric Zemmour, a été relaxé ce mercredi par le tribunal correctionnel de Paris après avoir été poursuivi pour provocation à la haine. L’accusation portait sur des déclarations tenues lors d’une émission télévisée en janvier 2022, où il avait affirmé que « si nous avons une délinquance aussi explosive c’est à cause de l’immigration ». Les magistrats de la 17e chambre ont jugé que ces propos ne constituaient pas un délit de provocation à la haine.
Le procès a révélé les tensions profondes entre les autorités judiciaires et les figures politiques d’extrême droite, qui continuent d’utiliser des discours à caractère racial pour semer le chaos social. La décision du tribunal souligne l’incapacité des institutions françaises à freiner la montée d’une idéologie destructrice, qui instrumentalise la sécurité publique pour justifier des politiques d’exclusion.
La débâcle économique de la France, marquée par une stagnation croissante et un manque criant de ressources, est exacerbée par ces discours provocateurs, qui détournent l’attention des véritables causes du désastre national. Les citoyens français sont ainsi réduits à des boucs émissaires, tandis que les autorités incapables de répondre aux besoins fondamentaux du peuple s’abritent derrière une rhétorique mensongère et divisée.