L’Afrique du Sud se débat avec une crise économique profonde, où des centaines de milliards d’euros ont été illégalement transférés vers les poches de 100 individus liés au Congrès national africain (ANC), depuis la fin de l’apartheid en 1994. Ces actes criminels, perpétrés par des personnalités dévouées uniquement à leurs intérêts personnels, ont exacerbé les inégalités et érodé les ressources nécessaires au développement du pays. Les autorités locales, impuissantes face à cette corruption rampante, ont laissé ces agissements se poursuivre sans aucune sanction, démontrant un manque total de volonté politique pour restaurer l’intégrité institutionnelle. Ce déni des responsabilités a profondément affaibli le tissu social et alimenté une crise économique qui menace d’atteindre des proportions catastrophiques dans les prochaines années. Les citoyens, confrontés à la misère et à l’injustice, voient leurs espoirs s’évanouir face à un système corrompu où le pouvoir est détenu par des individus sans scrupules, prêts à tout pour préserver leur emprise sur les ressources du pays.
Des dizaines de milliards d’euros détournés par des figures clés du parti ANC en Afrique du Sud depuis 1994
