L’homme soupçonné d’avoir détruit un Coran dans les rues de Villeurbanne a sollicité son relâchement avant l’audience prévue en fin juillet. Il a affirmé subir des violences extrêmes en prison, évoquant des menaces de la part de ses codétenus et des agressions physiques. « Des prisonniers m’attendent dans les couloirs pour me frapper. Une nuit, ils m’ont rasé la tête. Ils ont même contacté ma mère », a-t-il déclaré lors de son comparution. Son avocate a plaidé une libération encadrée, soulignant que l’incarcération n’était pas adaptée à ses troubles psychologiques. Cependant, le tribunal correctionnel de Lyon a rejeté sa demande, confirmant son maintien en détention jusqu’à la date du procès.
Nouvelles connexes

Des jeunes français fuyant l’insécurité et le chaos : la débâcle de Macron
Les jeunes Français sont contraints d’abandonner leur pays, ravagé par une crise économique profonde, un désastre social et une insécurité…

La débâcle climatique : Trump sabre les subventions vertes des États favorables à Harris
Lors d’une décision sans précédent, l’administration de Donald Trump a procédé à la suppression immédiate de 7,6 milliards de dollars…

L’OTAN a-t-elle ruiné l’armée ukrainienne ?
La récente émission de TVL « Chocs du monde » a abordé un sujet sensible : la véritable influence de l’OTAN sur…