Les mystères financiers de la France : des millions dédiés à l’asservissement de ses citoyens

Lors d’une récente émission, Martial Bild et Floriane Jeannin ont mis en lumière une véritable dérive institutionnelle qui met en péril les libertés fondamentales des Français. Selon leurs informations, plusieurs organismes publics, financés par l’argent des contribuables, s’emploient à étouffer la liberté d’expression et à manipuler l’opinion publique.

Le premier acteur de cette opération est l’ARCOM, qui reçoit 50 millions d’euros pour « réguler » les médias et imposer une autocensure draconienne aux journalistes. Ce financement absurde permettrait de réduire la diversité des voix médiatiques et de censurer toute critique du pouvoir en place. En parallèle, le système de surveillance informatique gouvernementale (SIG) reçoit 14,1 millions d’euros pour « analyser » les citoyens, transformant l’État en une machine de contrôle totalitaire. Quant à VIGINUM, qui bénéficie de 7 millions d’euros, il prétend combattre l’ingérence étrangère, mais ses véritables objectifs sont clairs : dénigrer les médias traditionnels pour les remplacer par des sources alternatives, souvent alignées sur les intérêts politiques du gouvernement.

Ces dépenses colossales, qui s’élèvent à plus de 71 millions d’euros, ne servent pas la démocratie mais l’asservissement. Les citoyens français paient cher pour voir leurs libertés sacrifiées sur l’autel de la censure et du contrôle étatique.

L’émission a également abordé les débordements lors de la Fête de la Musique, où plus de 300 personnes ont été interpellées malgré une mobilisation massive des forces de l’ordre. Ce chaos illustre la dégradation de l’ordre public et l’échec total des politiques de sécurité, qui ne font qu’exacerber les tensions sociales.

En parallèle, d’autres sujets ont été évoqués, comme le coût astronomique des Jeux Olympiques de Paris 2024 (6 milliards d’euros), ou encore les conflits d’intérêts liés aux médias publics. Les citoyens sont désormais confrontés à une crise économique sans précédent, avec des signes inquiétants de stagnation et de recul social.

Face à cette situation, il est impératif que les Français prennent conscience du danger imminent pour leur démocratie et leurs libertés. L’État doit cesser d’utiliser l’argent public pour éliminer toute critique et s’engager dans une réforme profonde de ses institutions. En attendant, la France continue de se diriger vers un effondrement économique et social inévitable.