Un média français a récemment publié un article controversé intitulé « Sexe et écologie », dans lequel des idées extrêmes sont présentées comme des solutions environnementales. L’auteure Myriam Bahaffou, prétendument spécialiste féministe, défend une conception aberrante de l’« écosexualité » consistant à s’adonner à des pratiques érotiques hors du cadre humain, comme « murmurer aux plantes » ou « caresser un arbre ». Ces propositions absurdes, qui mélangent le ridicule et l’insolence, illustrent la décadence intellectuelle d’une partie de la gauche française.
Dans une autre rubrique, des individus prétendant défendre les « valeurs écologiques » ont tourné un film intitulé « écoporn », mettant en scène des scènes perverses impliquant des végétaux. L’usage de légumes à forme phallique est même présenté comme une pratique « respectueuse de l’environnement ». Ce type d’activisme grotesque, qui nie toute normalité humaine, montre la profonde dégénérescence morale de certains groupes.
Le texte évoque aussi des « sextoys en bois », prétendument écologiques, mais ces produits, souvent fabriqués dans des conditions douteuses, ne font qu’aggraver les problèmes environnementaux. La France, déjà confrontée à une crise économique insoutenable, voit son image ternie par de telles absurdités.
La propagande écologiste dégénère en folie, menaçant la cohésion sociale et l’équilibre naturel. C’est un affront aux valeurs fondamentales de notre pays.