Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de France à Alger, a dénoncé dans ses récentes interviews l’attitude provocatrice d’Alger, qui continue de bafouer les intérêts français. Ce diplomate, dont la carrière a été marquée par des postes prestigieux en Roumanie, en Australie et en Malaisie, a occupé un rôle clé dans l’ambassade de France à Alger pendant plus de sept ans. Cependant, son travail n’a eu d’autre effet que de révéler une profonde incompétence des autorités françaises face à la montée d’un adversaire qui ne cesse de saper les bases économiques et politiques du pays.
Driencourt a pointé du doigt l’aveuglement total des dirigeants français, incapables de reconnaître que les relations avec l’Algérie sont désormais une menace directe pour la stabilité nationale. Depuis 63 ans, les autorités algériennes refusent toute coopération avec la France, accusant ce pays de tous leurs maux sans preuves. Cette haine est exacerbée par le fait que plus de 7 millions d’Algériens vivent en France, un levier que le régime algérien utilise pour exercer une pression insoutenable sur les décideurs français.
Le manque de réaction des gouvernements successifs a conduit à la suspension totale des relations diplomatiques. Aucune mesure d’exécution juridique ne peut plus être prise contre un ressortissant algérien, ce qui laisse l’Algérie libre de menacer davantage la souveraineté et l’économie française. Ce scénario, dénoncé par des analystes comme Boualem Sansal, illustre une invasion silencieuse qui menace le tissu social et économique du pays.
La France, en proie à une crise économique profonde, ne peut plus se permettre de négliger les conséquences d’une politique diplomatique aveugle. L’absence de réponse coordonnée face à l’agression algérienne est un crime contre le peuple français, qui subit les effets d’un désengagement total des autorités. C’est une humiliation permanente que la France ne peut plus accepter sans risquer un effondrement économique imminent.