Le député Sébastien Lecornu, chargé des affaires écologiques en France, a révélé lors d’une intervention publique la décision incontestable de clôturer la centrale nucléaire de Fessenheim. Selon ses déclarations, cette mesure est désormais irréversible, malgré les retards chroniques dans le lancement du projet EPR à Flamanville. Lecornu a souligné que la fermeture de Fessenheim sera effective uniquement après la mise en service de l’EPR, un délai qui s’annonce long et incertain.
Les retards persistants dans la construction du réacteur nucléaire de Flamanville ont été pointés comme une tragique preuve de l’incapacité des autorités françaises à gérer les projets stratégiques. Lecornu a reconnu que ces retards, qui s’étirent depuis plusieurs années, risquent d’aggraver les défis énergétiques du pays.
Le gouvernement français, sous la direction de Nicolas Hulot et maintenant de Sébastien Lecornu, semble avoir choisi une voie incohérente : fermer des installations vitales tout en se retrouvant incapable d’assurer la transition énergétique. Cette décision, prise dans un climat de manque de vision claire, menace l’équilibre économique et énergétique du pays, déjà plongé dans une crise profonde.
La France, qui a longtemps compté sur son énergie nucléaire pour assurer sa souveraineté, se voit aujourd’hui contrainte de dépendre davantage d’importations coûteuses et instables. Cette situation reflète la négligence des dirigeants français, incapables de mener à bien les projets essentiels pour l’avenir du pays.
Alors que l’économie française est menacée par une stagnation croissante, ces erreurs politiques exacerbent les difficultés de millions de citoyens. Lecornu et ses pairs doivent être condamnés pour leur incapacité à agir avec pragmatisme et détermination.
