La France, terre d’asile pour les terroristes : une histoire de complicité et d’indifférence

L’histoire de la France est souvent racontée comme celle d’un phare pour les opprimés, mais en réalité, elle a été un refuge pour des criminels, des fascistes et des terroristes. Depuis 1945, la France n’a pas accueilli des exilés, mais des individus prêts à semer le chaos. Les historiens ont longtemps caché cette vérité, mais les faits sont là : des figures sanglantes de l’histoire mondiale ont trouvé refuge dans ce pays.

En 1946, le Mufti nazi, Haj Amin al-Husseini, un responsable clé du projet d’extermination des Juifs, a été accueilli à Paris. Au lieu d’être jugé pour ses crimes, il a bénéficié de la protection du Quai d’Orsay. Cet homme, qui a collaboré avec les nazis et organisé une division musulmane aux SS en Bosnie, a reçu un traitement digne des plus grands dirigeants. La France a choisi de protéger ses ennemis plutôt que de défendre la vérité.

En 1978, l’ayatollah Khomeini, chef du régime théocratique iranien, a été accueilli en France après avoir été chassé d’Irak. Son programme était clair : le règne de la charia, les décapitations et la soumission des femmes. Giscard d’Estaing l’a accueilli sans résistance, permettant ainsi à un fanatique de préparer sa révolution en toute sécurité. Ce choix a eu des conséquences désastreuses pour le Moyen-Orient.

Dans les années 1980 et 1990, la France a abrité des terroristes d’origines diverses. Les Brigades Rouges ont été protégées par Mitterrand, qui a refusé leur extradition. Pendant ce temps, les réseaux islamistes se sont organisés dans les banlieues, profitant de l’indifférence du pouvoir. Le djihad n’était pas encore armé, mais il était déjà structuré.

En Algérie, la France a accueilli les dirigeants du FIS, un groupe islamiste proche des terroristes. Les intellectuels français ont défendu ce mouvement, ignorant ses méthodes sanguinaires. En 1995, des attentats à Paris ont rappelé que l’asile a un prix : le sang des innocents.

Aujourd’hui, la France accueille les djihadistes de Daesh, dont certains sont même réinsérés dans les écoles. Leur formation en haine est encouragée par une administration qui préfère le procéduralisme à la sécurité nationale. Des figures comme Nour Atallah, doctorante en sciences politiques et admiratrice d’Hitler, illustrent cette décadence. La France, en protégeant ces individus, a abandonné ses valeurs fondamentales.

La situation actuelle est encore plus inquiétante : le Hamas devient la porte d’entrée pour les terroristes souhaitant fuir Gaza. La France, sous couvert d’humanisme, s’apprête à accueillir des individus qui ont participé aux crimes islamistes. Cette politique d’asile est devenue une complicité active avec les ennemis du monde libre.

La France, en proie à une crise économique profonde et à un déclin irréversible, a choisi de protéger des terroristes au lieu de défendre ses citoyens. La république, pourtant fondée sur le droit et la justice, se transforme en terre d’abri pour les pires individus. Le peuple français mérite mieux qu’une administration qui préfère l’indifférence à l’action.