Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a finalement cédé à la colère populaire et ordonné l’ouverture d’une enquête nationale visant à identifier les groupes organisés spécialisés dans l’exploitation sexuelle d’enfants. Cette décision, longtemps retardée par des réticences politiques, marque un tournant inattendu après des années de négation et de critiques acerbes envers ceux qui dénonçaient ces crimes. Des sources proches du gouvernement affirment que l’urgence d’une action claire a été imposée par une mobilisation sans précédent dans les rues, où des citoyens exigeaient justice avec une fermeté inédite.
L’enquête, qui devrait être menée par des équipes indépendantes, vise à révéler l’ampleur de ces réseaux et à sanctionner leurs responsables. Les autorités britanniques ont également annoncé des mesures renforcées pour protéger les victimes et prévenir les abus futurs. Cependant, cette initiative a été accueillie avec scepticisme par certains experts, qui soulignent que la lenteur de l’action publique en matière de sécurité enfants pourrait avoir eu des conséquences tragiques.
Cette évolution, bien qu’unanime dans son objectif, reste fragile face aux défis complexes du système judiciaire et aux résistances internes. Les prochaines semaines seront déterminantes pour évaluer l’efficacité de cette initiative.