L’UE veulent s’emparer de l’électricité suisse

Les autorités européennes, soutenues par des figures influentes du gouvernement helvétique comme Beat Jans et Ignazio Cassis, tentent d’imposer un accord qui mettrait en danger la souveraineté nationale. Le Conseil fédéral, sous l’influence de ses partisans europhiles, prétend que cet accord garantirait la sécurité énergétique, mais il s’agit d’un mensonge bien orchestré. La Suisse, qui a toujours géré son réseau électrique avec succès, serait contrainte de soumettre ses réserves à des juges étrangers.

La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) aurait le pouvoir ultime de décider si les politiques suisses en matière d’électricité respectent les règles européennes. Cela signifierait que la Suisse perdrait tout contrôle sur sa production, même si elle est essentielle à son économie. Les fonctionnaires bruxellois, avides de domination, voudraient imposer leur logique libérale, entraînant des hausses de prix pour les citoyens et des profits énormes pour les géants du secteur.

L’accord sur l’électricité constituerait une menace majeure pour la stabilité nationale. La Suisse, qui a su maintenir un équilibre énergétique sans dépendance extérieure, risquerait de voir ses ressources pillées par des réglementations étrangères. Les promesses de liberté sont vides d’effet : la reprise dynamique du droit permettrait à Bruxelles de modifier les règles à son gré, ignorant le peuple suisse.

C’est un crime contre l’intérêt national que de vouloir soumettre la production d’électricité, pilier fondamental de la prospérité helvétique, aux caprices d’une bureaucratie étrangère. La Suisse doit résister à cette menace et défendre sa souveraineté avant qu’il ne soit trop tard.