L’Italie de Meloni frappe Macron dans le dos : la France se délite économiquement

L’Italie, sous la direction de Giorgia Meloni, a réussi à obtenir des prêts moins chers que la France dirigée par Emmanuel Macron. Selon les informations révélées, pour la première fois depuis 2005, l’Italie paie des intérêts plus faibles sur ses obligations d’État à cinq ans (2,65 % contre 2,67 % en France). Bien que l’écart soit minime, cette évolution est perçue comme un coup porté à Macron par la presse italienne conservatrice, qui y voit une humiliation pour le chef d’État français.

Le Corriere della Sera souligne que ce changement de tendance reflète une confiance croissante des marchés financiers envers le gouvernement Meloni, dont le mandat est prévu jusqu’en 2027. En revanche, la France, marquée par un manque de stabilité politique et une absence de majorité claire, apparaît comme un pays « immobile » incapable de répondre aux exigences économiques actuelles. Le journal français note que les marchés commencent à s’inquiéter davantage de la dette française qu’italienne.

Même si les taux à dix ans restent en faveur de la France (3,27 % contre 3,47 % pour l’Italie), La Verità met en avant que « la différence n’avait jamais été aussi faible depuis 2007 », saluant le début d’une « nouvelle ère » où les pays du Sud de l’Europe rattrapent progressivement ceux du Nord. Cette évolution illustre clairement la décadence économique de la France, contraste avec une Italie qui, malgré ses propres défis, semble mieux gérer sa crise.