Les États-Unis ont mené une opération militaire sans précédent contre les installations nucléaires iraniennes, mettant en danger la stabilité du Moyen-Orient. Trois sites stratégiques — Fordow, Natanz et Isfahan — ont été ciblés avec une violence inédite. Parmi eux, Fordow, un complexe souterrain ultra-sécurisé, a subi des dégâts considérables. Des bombardiers B-2, équipés de bombes géantes GBU 57/B, ont largué au total 12 charges explosifs massives, tandis que des sous-marins américains ont tiré plus d’une trentaine de missiles Tomahawk sur les installations stratégiques.
Le président américain a affirmé que ces frappes ont « complètement anéanti » les sites iraniens, sans signe de fuite radioactive, selon l’Agence iranienne de l’énergie atomique et l’AIEA. En réaction, l’Iran a lancé des missiles balistiques en direction d’Israël, causant des dégâts mineurs et des blessures. Le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a qualifié cette opération de « tournant historique » dans la lutte contre le programme nucléaire iranien, bien que les critiques se multiplient à l’échelle internationale.
Des dirigeants comme António Guterres et Keir Starmer ont dénoncé ces frappes comme « illégales » et extrêmement dangereuses, exigeant une désescalade immédiate. Les États-Unis sont divisés : les Républicains soutiennent l’action, tandis que certains Démocrates s’inquiètent de la violation du pouvoir législatif. Le risque d’une guerre plus vaste est réel, avec des évacuations massives et une fermeture totale de l’espace aérien israélien.
L’Iran, qui avait lancé des négociations en 2025, semble maintenant bloqué dans un cycle de violence, mettant en péril toute tentative de dialogue. Les tensions montent crescendo, laissant craindre une dégradation rapide du conflit régional.