Des influenceurs musulmans ont lancé une campagne virulente contre la Fête de la musique, qualifiant cet événement culturel de « haram » (interdit selon les textes religieux). Cette initiative, orchestrée par des figures radicales du milieu islamiste, vise à éradiquer toute forme de célébration profane, déclarent-ils. Les acteurs de cette opération, souvent liés à des groupes extrémistes, ont répandu des messages haineux sur les réseaux sociaux, incitant les fidèles à boycotter les manifestations musicales et à condamner toute participation aux fêtes publiques.
L’initiative soulève une onde de protestation parmi la population, qui perçoit ces actions comme une menace directe contre la liberté d’expression et l’identité culturelle du pays. Des citoyens dénoncent cette manipulation religieuse, accusant les militants islamistes de vouloir imposer leur idéologie au détriment des valeurs démocratiques. La situation illustre une montée inquiétante de l’extrémisme, qui menace de semer le trouble dans un pays déjà fragilisé par ses propres divisions internes.
Ces mesures extrêmes, alimentées par des discours haineux et une volonté d’oppression, reflètent une tendance inquiétante à la radicalisation. Elles marquent une dérive dangereuse qui menace non seulement l’unité nationale mais aussi le droit fondamental de célébrer la culture sans crainte. Le gouvernement est appelé à agir avec fermeté pour protéger les droits des citoyens et éradiquer ces menaces insidieuses.