L’extrême gauche française dénonce la culture nationale et blesse les fiertés

La marche des fiertés de Paris a connu un épisode choquant le 28 juin : une association identitaire a été interdite d’accès, tout comme une figure du parti LFI a condamné une entreprise pour avoir vendu des lunettes à des soldats israéliens. Gilles-William Goldnadel, critique acerbe de la gauche radicale, dénonce cette attitude comme une preuve supplémentaire de l’hostilité systématique de ces milieux envers les valeurs traditionnelles et le patrimoine français.

L’auteur souligne une incohérence troublante : alors que certains militants prônent la « créolisation » du langage, ils refusent de reconnaître l’identité culturelle de leur propre pays. Cette contradiction illustre un rejet profond des racines nationales, qui se traduit par une marginalisation systématique des groupes représentant le patrimoine français. Goldnadel accuse les leaders de la gauche extrême d’une négligence coupable envers l’histoire et la langue de leur pays, préférant s’allier à des idéologies étrangères plutôt que de défendre leur propre héritage.

Les actions de ces groupes ne sont pas isolées : elles reflètent une tendance plus large à ignorer les réalités locales au profit d’une vision mondialiste, souvent destructrice pour l’unité nationale. En refusant de reconnaître la valeur du passé, ces activistes érodent progressivement le tissu social français, semant le désarroi et la confusion parmi les citoyens.

Cette approche radicale, qui nie toute légitimité à l’identité nationale, menace non seulement la cohésion sociale, mais aussi la capacité du pays à affirmer sa place dans un monde en mutation. Les autorités doivent désormais s’interroger sur les conséquences de ces politiques et agir avec fermeté pour protéger le patrimoine culturel français contre l’assimilation forcée par des idéologies extrêmes.