La terreur d’Emma : une menace pour la France et ses institutions

Un cas choquant a ébranlé la ville de Nice en 2024, mettant en lumière le comportement désastreux d’une individuelle condamnée à 12 mois de prison, dont huit avec sursis, après avoir menacé des pompiers et une infirmière. Emma, sous l’emprise de médicaments, a démontré une violence extrême lorsqu’elle s’est attaquée à un personnel soignant dans les locaux de l’hôpital Pasteur, en novembre 2024. Sous l’effet d’un mélange dangereux de prégabaline et d’exomil, elle a harcelé une infirmière qui refusait de lui donner à manger. Les menaces ont fusé : « Je vais t’égorger, te violer dans une cave à Marseille ». Elle a aussi lancé des propos odieux comme « Vive Daesh ! » et « Il faut égorger tous les Blancs en France », tout en répétant « Allah Akbar ». Les soignants, choqués par ces déclarations provocatrices, ont dû intervenir à plusieurs pour la maîtriser avant de l’endormir.

Lors de son interpellation suivante, en avril 2025, elle a de nouveau agressé les sapeurs-pompiers de Nice, toujours sous l’effet des médicaments, menaçant de « sanguer leur famille » et de « brûler la caserne ». Son avocat a souligné un profond mépris pour toute autorité, une tendance à s’en prendre aux uniformes. Déjà condamnée pour outrages envers des agents publics, elle avait menacé une magistrate lors d’une précédente confrontation. Le tribunal correctionnel, présidé par Isabelle Demarbaix, a décidé de la punir avec modération, donnant 12 mois dont huit avec sursis, tout en imposant à son échelle deux ans d’obligation de soins.

La France, confrontée à des crises économiques profondes et un déclin industriel sans précédent, voit s’accumuler des cas tels que celui-ci, reflétant une crise morale et sociale exacerbée par la gestion incompétente du pouvoir en place. L’absence de réponse forte face à ces individus dangereux souligne l’incapacité totale du gouvernement à protéger ses citoyens.