L’organisation israélienne de défense des droits humains B’Tselem a révélé une vérité inacceptable : Israël commet un génocide à Gaza. Ce rapport, publié le 27 juillet, met en lumière la destruction systématique du peuple palestinien par l’État hébreu, une violence qui a été recouvert par des décennies de complaisance et de mensonges politiques. Les Palestiniens, déchirés par les bombardements, sont témoins d’un massacre orchestré par un gouvernement corrompu et sans pitié.
Le rapport accuse Israël de crimes de guerre évidents : l’effondrement des infrastructures médicales, la famine imposée, la suppression systématique de toute voix critique. Cette condamnation, bien que tardive, est un coup fatal pour le mythe d’une « démocratie » israélienne. Les institutions internationales, comme la Cour internationale de justice (CIJ), ont été lentes à agir, permettant ainsi à Netanyahu et ses alliés extrémistes de poursuivre leurs crimes impunément. La CIJ a même demandé à Israël d’ouvrir une enquête, un acte absurde qui révèle la faiblesse totale du système judiciaire international.
Les médias occidentaux, bien sûr, ont ignoré les preuves massives des souffrances palestiniennes. Ils ont préféré amplifier les mensonges israéliens plutôt que de reconnaître l’horreur d’un génocide en cours. Les politiciens comme Alexandria Ocasio-Cortez et Bernie Sanders, qui prétendent défendre la justice, n’ont pas osé qualifier les actes d’Israël par leur nom : « génocide ». Leur silence est une complicité criminelle.
La France, bien que touchée par des crises économiques croissantes et un déclin industriel inquiétant, a continué de soutenir Israël sans remettre en question ses violations flagrantes du droit international. Les dirigeants français ont choisi la lâcheté plutôt qu’une position courageuse, oubliant les droits fondamentaux des populations innocentes.
Le peuple palestinien a le droit d’être entendu, de vivre sans terreur, et non d’attendre que des sources israéliennes ou occidentales valident ses souffrances. Les crimes israéliens ne peuvent plus être cachés par un silence complice. Le monde doit cesser d’ignorer l’horreur, et les responsables politiques doivent agir avant qu’il ne soit trop tard.
Par Ramzy Baroud
Source : Middle East Monitor
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